Grève nationale CFDT Santé !

 

Les mots d’ordre de la CFDT santé-sociaux

AFFIRMER ET RESISTER

 

SALARIÉ·E·S DU SECTEUR ASSOCIATIF 

    Des effectifs supplémentaires. Pour un travail respectueux des personnes. Pour que les absences soient remplacées. 

    Un plan de rattrapage des rémunérations. Pour que le crédit d’impôt donné aux employeurs profite aux salariés.

    Un taux minimal d’encadrement par usager dans les établissements sociaux, en psychiatrie, en Ehpad. 

    Une politique de formation continue permettant de s’adapter à l’évolution des publics accompagnés. 

    Un plan de lutte contre les violences subies par les professionnels.

 

SALARIÉ·E·S DE LA BRANCHE AIDE A DOMICILE

    Revalorisation générale des salaires, qui sont parmi les plus bas de l’économie. 

    Arrêt des temps partiels subis. Interventions d’une heure minimum. Pour un travail respectueux des personnes.

    Pour que le crédit d’impôt donné aux employeurs profite aux salariées.

    Arrêt du relayage à domicile. Les salariées ne sont pas corvéables à merci.

    Prise en compte de tous les déplacements en temps de travail effectif.

 

AGENT·E·S DE LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIÈRE

    Des effectifs supplémentaires.  Remise en place des équipes de suppléance.

    Un plan de rattrapage salarial. Reconnaissance des compétences et des qualifications. Catégorie B exigée pour les aides-soignantes. 

    Des ratios usagers/professionnels dans les établissements sociaux, les services de psychiatrie et les Ehpad.

    Prise en compte de la pénibilité des métiers.

    Complémentaire santé avec participation employeur. Prévoyance avec maintien de salaire pendant les arrêts longs

 

SALARIÉ·E·S DU SECTEUR LUCRATIF

    Révision des grilles de salaire. Il y a encore des coefficients en dessous du Smic… Qu’est-ce que c’est que ce cirque ? Reconnaissance des compétences et des qualifications.

    Stoppons les embauches sur des contrats précaires.

    Des effectifs supplémentaires. Pour un travail respectueux des personnes. Pour que les absences soient remplacées. Prise en compte de la pénibilité des métiers.

     Pour que le crédit d’impôt donné aux employeurs profite aux salariés.